Retrouvez le programme, les présentations des intervenants et intervenantes et revisionnez les moments forts de cette journée.

 

Présentations

Toutes les présentations peuvent être téléchargées en PDF en cliquant sur les liens en bas de cette page.

 

Résumé des ateliers

 

Hénallux/HELMo

Engagées dans la procédure d’avis global en vue d’obtenir l’autonomie dans l’évaluation de leurs programmes de formation, trois Hautes Écoles (Ephec – HELMo et Hénallux) ont décidé de collaborer en vue de concevoir un outil commun de diagnostic.  Cette présentation, portée par des membres des services d’appui à la qualité de HELMo et de l’Hénallux, met en avant l’intérêt d’une telle collaboration et présente comment l’outil commun et évolutif a été utilisé dans le cadre de méthodologies d’évaluation différenciées, dans des institutions avec des démarches qualité qui leur sont propres. Les intervenants y évoquent également les bénéfices que la demande d’autonomie a amenés pour chacune des institutions engagées dans cette collaboration.

 

UMONS

 

Au sortir de l’autoévaluation institutionnelle, l’UMONS a décidé de renforcer le bouclage PDCA, et en particulier les étapes « check » et « Act/adjust », dans son SMQ. Avec la volonté de professionnaliser le suivi de ses plans d’action, le service qualité de l’institution (EQuIP) a été chargé de développer un processus de suivi des plans et de l’outiller. Cette présentation retrace ce développement, avec dans une première partie la création du nouveau processus et la conception de l’outillage nécessaire. La seconde partie aborde le développement de l’application SEQUOIA’APP.  Le fil rouge met l’accent sur le travail de co-construction qui a prévalu tout au long de la démarche, et en particulier sur le nécessaire dialogue entre les personnes « métier » qui maitrisent leur domaine et les personnes « techniques » chargées de développer des solutions.

 

IFOSUP de Wavre

La démarche pilote de l’IFOSUP de Wavre a été une opportunité d’innovations méthodologiques, en particulier dans la prise en compte de caractéristiques contextuelles qui sont très spécifiques à l’EPS. D’une part le fait que les établissements n’y exercent qu’une autonomie résiduelle, sur de nombreux processus dont la gestion dépend, pour une part plus ou moins importante, d’autres niveaux de fonctionnement (PO, réseau, interréseaux) qui lui sont « externes ». D’autre part la taille majoritairement assez petite des établissements et de leur offre d’enseignement, ce qui, en pratique, en fait des institutions peu complexes (structure plane, rapports très horizontaux, peu de services spécifiques, peu d’acteurs « institutionnels », petites équipes opérant sur un territoire concentré). La présentation passe en revues quatre spécificités de l’expérience de l’IFOSUP avec, en miroir, une mise en perspective des réflexions méthodologiques que celles-ci ont nourries à l’échelle plus globale de l’EPS, notamment sur l’opportunité d’aborder les évaluations institutionnelles dans une perspective plus « systémique » : d’une part en prenant mieux en compte les différents niveaux de fonctionnement de notre enseignement ; d’autre part en valorisant davantage le fait que la réforme de 1991 a intégralement redéfini le fonctionnement de l’EPS autour du parcours de l’étudiant.

 

ULiège

 

ULiège et qualité, une longue histoire d’amour

Le management de la qualité est un des enjeux explicites de l’ULiège depuis 1998.  Depuis, de nombreuses initiatives ont été entreprises pour l’amélioration de l’enseignement, de la recherche et du fonctionnement administratif de l’institution.

La qualité à l’ULiège se traduit par les notions de « fitness for purpose » et de « capacity for change ».

 

ULiège et qualité, une triple garantie

Trois niveaux de réflexion ont été identifiés avec pour chacun des objectifs et degrés de responsabilité définis :

 

• Le niveau institutionnel est soumis à une évaluation tous les 6 ans par l’AEQES, à cette occasion, l’ULiège doit démontrer la validité et la robustesse de son système.
• Le niveau facultaire est soumis tous les 6 ans à une évaluation coordonnée par le SMAQ.  Cette évaluation permettra à la Faculté de mener ses réflexions, rédiger un rapport d’autoévaluation (afin d’éclairer la visite d’un comité d’experts externe qui sera désigné par le SMAQ) et ainsi démontrer la robustesse de son système qualité.
• Le niveau programmatique implique une réflexion annuelle sur cinq thématiques répondant aux exigences de l’ESG 1.9 par des conseils adhoc, dans un objectif d’amélioration permanente et continue des programmes. 

 

Les réflexions thématiques sont désormais menées par les conseils adhoc depuis la rentrée 2022.  Une évaluation du système au bout d’une première année d’activité sera organisée en octobre 2023. L’année 2024, quant à elle, verra les premières évaluations facultaires aboutir à la visite d’un comité d’experts.

Revisionnage

Revivez les différentes présentations et conférences de notre journée en cliquant sur les liens ci-dessous :

 

Introduction et présentation de Nino Popkhadze, Policy & Project Officer à l'EUA à propos de la publication University Autonomy in Europe IV the Scorecard 2023.

L'équilibre entre autonomie et responsabilité en matière d'assurance qualité : quelques exemples à travers l'Europe - interventions d'Alexis Fábregas Almirall (ENQA), Patrick Van den Bosch (VLUHR QA) et Stella Annani (UKÄ). Cette table ronde était animée par Manon Ledune, directrice de l'INSAS.

Intervention de Valérie Glatigny, Ministre de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement de la promotion sociale et de la Recherche scientifique.

Phase pilote 2019-2023 et après ? Bilan de la phase pilote par Caty Duykaerts, directrice de la Cellule exécutive de l'AEQES et consultation des instances : tendances & convergences par Christophe Coetsier et Sandrine Canter, Président et Vice-présidente de l'AEQES.